Si vous avez raté mardi soir le documentaire sur Arte intitulé "le Bonheur au travail", je vous encourage vivement à le visionner. C'est un film qu'il faudrait projeter au Medef puisqu'il pointe clairement l'un des grands freins à la croissance, le lest qui cloue au sol bien des entreprises: le moral des salariés passablement plombé!
Ce documentaire doit provoquer le débat sur ce qui nous attend ces prochaines années, les nouvelles organisations du travail vont certainement modifier en profondeur nos façons de vivre. A méditer...
la bande annonce :
Un Accord National Interprofessionnel “Vers une politique d’amélioration de la qualité de vie au travail (QVT) et de l’égalité professionnelle”, a été conclu le 19 juin 2013 entre la CGPME, l’UPA, le MEDEF d’une part, et la CFDT, la CFE-CGC et la CFTC d’autre part. Il s’articule autour d’une approche transversale de la qualité de vie au travail en lien avec la compétitivité de l’entreprise qui est mise en œuvre, à titre expérimental, jusqu’au 31 décembre 2015.
Selon l’article 1 de l’accord, la qualité de vie au travail « peut se concevoir comme un sentiment de bien-être au travail perçu collectivement et individuellement qui englobe l’ambiance, la culture de l’entreprise, l’intérêt du travail, les conditions de travail, le sentiment d’implication, le degré d’autonomie et de responsabilisation, l’égalité, un droit à l’erreur accordé à chacun, une reconnaissance et une valorisation du travail effectué ».
Aussi, l’accord précise que « sa définition, sa conduite et son évaluation sont des enjeux qui doivent être placés au cœur du développement du dialogue social. »
« La promotion de la qualité de vie au travail suppose :
– un dialogue social de qualité qui aboutisse à de bonnes relations sociales et de travail ;
– de veiller à écarter tout impact pathogène des modes d’aménagement du travail ;
– de promouvoir un choix collectif qui implique les salariés et les dirigeants des entreprises, les partenaires sociaux, l’Etat et les collectivités territoriales à tous les niveaux ;
– d’encourager toutes les initiatives qui contribuent au bien-être au travail, au développement des compétences et à l’évolution professionnelle ;
– que le travail participe de l’épanouissement physique, psychique et intellectuel des individus ;
– que chacun trouve sa place au travail et que le travail garde sa place parmi les autres activités humaines. »
– un dialogue social de qualité qui aboutisse à de bonnes relations sociales et de travail ;
– de veiller à écarter tout impact pathogène des modes d’aménagement du travail ;
– de promouvoir un choix collectif qui implique les salariés et les dirigeants des entreprises, les partenaires sociaux, l’Etat et les collectivités territoriales à tous les niveaux ;
– d’encourager toutes les initiatives qui contribuent au bien-être au travail, au développement des compétences et à l’évolution professionnelle ;
– que le travail participe de l’épanouissement physique, psychique et intellectuel des individus ;
– que chacun trouve sa place au travail et que le travail garde sa place parmi les autres activités humaines. »
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