mercredi 29 mars 2017

ORDRE DU JOUR DU CCE DES 30 ET 31 MARS

Votre Comité Central d'Entreprise se réunit cette semaine. Si vous avez des questions n'hésitez pas à contacter vos représentants CFTC, ils se feront un plaisir des les porter devant la direction:

ORDRE DU JOUR DE LA REUNION DU COMITE CENTRAL D’ENTREPRISE

DECATHLON LOGISTIQUE FRANCE
                
Jeudi 30 mars 2017
Hôtel Mercure
Lille Lesquin

            (Les horaires de présentation des différents sujets sont mentionnés à titre indicatif)


14h00

Feuille de présence
Adoption du PV de la dernière réunion


Tous

14h05

Point sur le monitorat (en lien avec les orientations stratégique de l’entreprise pour 2017)
Et retour sur le bilan lancement des Moniteurs


​  ​
Maral TCHAKMAKDJIAN/
​  ​
Fred GUINIER


14h45


Inforation sur les tablettes libérées

Maral TCHAKMAKDJIAN

15h30


Pause



14h50

Information sur les orientations stratégiques de l’entreprise Logistique France SAS

Christophe BANDERET

15h50
Information sur l’organisation des infomations et consultation en application de la loi dite « Rebsamen »


JC REVERT

16h20

Présentation des comptes CCE  (dont commission de solidarité) et quitus du trésorier


Sylvie BOUNAUD

17h00

Fin de la réunion



17h30
/18h30

Pour ceux qui le souhaitent : visite du magasin d’Englos (nouveau concept en test)






Diner sur Bailleul


 Vendredi 31 mars 2017
Hôtel Mercure
Lille Lesquin   

                  

8h30

Accueil café



9h00


Information sur le multi formats (en lien avec les orientations stratégiques de l’entreprise)


Nicolas ROQUES

10h00

Présentation des cinq volontés Rh France (dans le cadre du projet Decathlon France)


Fabrice LISARDI


11h00

Pause



11h20


Information sur les résultats économiques


Pascal DELAHOUSSE

11h40

Information  sur les éléments chiffrés à 3 ans (en lien avec les orientations stratégiques de l’entreprise)



Pascal DELAHOUSSE

12h10


Consultation globale sur les orientations stratégiques de l’entreprise


Les élus et RS CCE

12h20


Tour de table

Tous

13h00

Fin de réunion



mercredi 22 mars 2017

DECATHLON 1ER AU CLASSEMENT GREAT PLACE TO WORK EN 2017

PREMIERE AU CLASSEMENT DES ENTREPRISES OU IL FAIT BON TRAVAILLER EN FRANCE 

Extrait de Challenges.fr du 22/03/17 : 

La 15e édition du palmarès confirme que les entreprises françaises sont de plus en plus nombreuses à prendre en compte le bien-être au travail de leurs collaborateurs. Pour Patrick Dumoulin, directeur général de Great Place to Work, elles n’ont même rien à envier aux start-up de la Silicon Valley, souvent citées en exemple.

La question du bien-être au travail occupe une place de plus en plus importante dans le débat public. L'entrée en vigueur depuis le 1er janvier 2017 du droit à la déconnexion, inscrit dans la loi Travail, en est un parfait exemple. Désormais, les entreprises de plus de 50 salariés ont l'obligation d'ouvrir des négociations afin de réguler l'utilisation des outils numériques au bureau. Un droit à respirer qui séduit, sur le papier, autant les salariés que les patrons eux-mêmes. 80% d'entre eux pensent ainsi que c'est une bonne mesure pour leur société, d'après le baromètre OpinionWay-Banque Palatine pour Challenges. Parmi eux, les dirigeants des entreprises où il fait bon travailler en France figurent en bonne place. “Ils n'ont pas attendu la loi pour agir, assure Patrick Dumoulin, directeur général de Great Place to Work. C'est devenu inéluctable en entreprise. Il y a une forte demande pour un meilleur équilibre vie privé et professionnelle, quel que soit l'âge. Dans beaucoup d'entreprises labellisées Great Place to work, il est interdit de programmer une réunion après 18 heures et l'accès aux mails est coupé le week-end”.  

Alors que les start-up de la Silicon Valley sont souvent montrées en exemple pour les services qu'elles proposent à leurs salariés, outre-Atlantique, à l'inverse, de nombreux journaux ont salué le droit à la déconnexion en France, une première mondiale. Et d'ailleurs “les entreprises françaises n'ont plus rien à envier aux stars de la Silicon Valley”, répète à l'envie Patrick Dumoulin, qui se dit fier de la domination des groupes hexagonaux dans le palmarès 2017. “Il y a 15 ans, nous avions essentiellement des filiales de groupes américains dans notre classement. Aujourd'hui, nous avons de grands managers en France qui ont placé l'humain au coeur de leur stratégie”. De fait, pour la 3e année consécutive, la plus haute marche du podium des différentes catégories (moins de 500 salariés, plus de 500 salariés, plus de 5.000 salariés) est occupée par une entreprise hexagonale. Par ailleurs, dans chaque top 10 figurent deux-tiers de groupes français. Interview. 
Challenges: Pourquoi avoir créé cette année un classement dédié aux entreprises de plus de 5.000 salariés?
Patrick Dumoulin: Parce qu'en termes d'enjeu et d'organisation, les problématiques sont différentes entre des entreprises qui comptent plusieurs centaines de collaborateurs et les très grands groupes. Par ailleurs, nous avions envie de pousser davantage de grandes sociétés à postuler au palmarès (voir méthodologie en fin d'article ndlr). Douze ont candidaté mais seulement cinq ont été labellisées cette année. Cela montre qu'il n'est pas si facile d'être une Great place to work.
Je voudrais cependant insister sur la performance de trois grands groupes: Décathlon, lauréat cette année, est labellisée depuis 9 ans, McDonald's depuis 14 ans et Leroy Merlin depuis 13 ans. Cette longévité au plus haut niveau est incroyable.
Que faut-il retenir de ce palmarès 2017 des entreprises françaises où il fait bon travailler?
Pour moi, il s’agit de la domination des jeunes entreprises françaises. Sur les 85 qui ont été labellisées, 40 n’existaient pas au 1er janvier 2000. On constate qu’il existe plein de jeunes entreprises en France qui ont placé le bien-être des salariés au coeur de leur réussite. On y parle de performances économiques mais aussi sociales. Le lauréat pour la 4ème fois en France, Davidson Consulting, a été créé en 2005. La cabinet de conseil emploie désormais 1.800 salariés et va réaliser 150 millions de chiffre d’affaires cette année.
Il y a également une grande diversité de secteurs d’activité avec, certes, de nombreuses sociétés de conseil, mais aussi des entreprises industrielles ou d’informatique.
Qu’ont en commun ces entreprises qui apparaissent dans le palmarès?
Elles partagent une volonté forte en interne de faire du travail un lieu où il fait bon travailler. Car on ne devient pas une entreprise où il est agréable de travailler par hasard! Il faut le vouloir. Les managers ont ainsi un certain courage car il faut être dans une démarche d’écoute et d’ouverture vis à vis de ses salariés et vouloir s’améliorer sans cesse. Dans plusieurs entreprises, les dirigeants ne disposent plus d’un bureau fermé mais travaille au milieu de leurs collaborateurs, dans un souci d’accessibilité. D’une manière générale, le top management associe davantage les salariés aux prises de décisions. Il y a une communication “top-down” qui fonctionne bien. Dans notre questionnaire, 80% des salariés estiment qu’ils peuvent poser n’importe quelle question à leur manager et sont informés des sujets importants dans leur entreprise.
Ce qu’on observe dans les entreprises labellisées est le passage d’un management participatif à collaboratif. On fait travailler les salariés en équipes transverses, avec des profils différents, sur des projets structurants. On croit beaucoup au collectif.
Sur la question de la qualité de vie, nous avons pu observer ces dernières années une transformation des espaces de travail. Il y a presque systématiquement désormais des services comme des conciergeries, espaces de détente, salles de sieste… Face aux grands open space, on recrée également des espaces plus réduits dédiés au travail en équipe. Les dirigeants sont aussi sensibles à l’ergonomie pour rendre les bureaux plus agréables.
Quel(s) bénéfice(s) retirent les entreprises Great Place to Work de ces actions?
Il y a en a plusieurs. Tout d’abord en interne. Le fait d’être reconnu va apporter une grande fierté aux salariés et conforte les dirigeants dans leur politique sociale. D’un point de vue externe, être labellisée Great Place to Work va avoir un impact positif vis à vis des clients. Si je vais demain à Décathlon, je me dis que je vais être bien accompagné car les salariés sont heureux et bien traités. Cela va également renforcer l’attractivité de l’entreprise lors du recrutement. J’étais cette semaine chez C’Pro, une société de reproduction dans la Drôme, ils me disaient que 7 candidats sur 10 évoquaient le palmarès Great Place To Work en entretien comme levier de motivation. Dans le conseil, où une guerre des talents fait rage, le classement permet d’attirer les talents mais aussi de les retenir plus longtemps.


lundi 6 mars 2017

200€ POUR L'ACHAT D'UN VELO ELECTRIQUE

Depuis le 1er mars, l'État accorde, une subvention de 200 euros à tout acheteur de vélo électrique sur présentation d'une facture (auprès de l'Agence des services et des paiements). Le décret instituant cette mesure, valable jusqu'au 31 janvier 2018, est paru au Journal officiel il y a un peu moins d'une semaine.

L'offre est valable une fois pour chaque acheteur, et non pour chaque achat. Elle vient s'ajouter aux subventions déjà existantes pour l'achat de voitures électriques et deux-roues motorisés. Attention, ces 200 euros sont un maximum. L'Agence de Services et de paiement, qui s'occupe du bonus, précise que l'aide est fixée à "20% du coût d'acquisition, hors options, sans être supérieur à 200 euros". 
Par conséquent, Pour toucher la totalité de la prime, il faut donc acheter un vélo à au moins 1000 euros.
Le décret précise que cette aide concerne "l'acquisition de cycles à pédalage assisté qui n'utilisent pas de batterie au plomb et pour l'acquisition ou la location de véhicules à moteur à deux ou trois roues et de quadricycles à moteur électriques d'une puissance maximale nette du moteur inférieure à 3kW et n'utilisant pas de batterie au plomb". Elle s'applique donc aux trottinettes électriques, hoverboards et autres gyropodes, s'ils ne fonctionnent pas avec une batterie au plomb.

Notons que chez DECATHLON, les prix varient de 699,99€ à 1199,99€ pour l'achat d'un vélo électrique. C'est également cumulable avec le remboursement des frais kilométriques (maxi 200€ par an) si on se rend à vélo au travail...